Sodomie: Le guide du sexe anal pour le plaisir de la femme

La sodomie dans la culture

Une chose bien dommage est qu’on laisse trop souvent la culture influencer nos vies sexuelles. Entre ce qui est ‘censé’ être acceptable, voire, vanille, et ce qui est marginal, sale, voire choquant; disons que la plupart des règles sont floues, infondées, et clairement arbitraires.

Tant qu’on reste dans la légalité, le respect, le plaisir, la bienveillance, et l’échange, livrons-nous allègrement à l’exploration de nos corps et de tous les plaisirs que nous sommes à même de ressentir!

Autant dire que la sodomie est un sujet tabou encore en 2020 dans beaucoup de cultures. Pour vous donner une idée, le mot lui-même est dérivé de Sodoma, ville mentionnée dans la Genèse pour avoir été détruite par Dieu pour tous les ‘péchés’ qui y étaient commis - l’inhospitalité étant le principal.

Entre nous, l’homosexualité est implicite dans le récit biblique - donc on peut se poser des questions quant à l’interprétation future - et prend des proportions démesurées plus tard dans l’histoire. Et ce, jusqu’à se faufiler dans nos esprits comme étant un péché innommable.

« Notre degré de reconnaissance des sexualités et pratiques est intrinsèquement lié au monde autour de nous...  »

D’un point de vue biblique, le but de l’acte sexuel est la procréation, ce qui explique d’un certain côté pourquoi l’homosexualité est mal vue, et le plaisir de la femme, inexistant...

Trois millénaires nous séparent des cultures qui ont produit ces textes, et pourtant leur poids est toujours dans nos esprits et dans la culture. Malgré des avancées notables, qu’on soit ou non croyant, religieux ou pas, les mœurs restent quelque peu coincées. Notre degré de reconnaissance des sexualités et pratiques est intrinsèquement lié au monde autour de nous...

On considère qu’une femme se donne, et qu’un homme “prend”, ou “baise”, ou “défonce”... La femme a une place “passive”, parce qu’elle “reçoit”.

Dans la culture francophone, on peut entendre l’expression/l’insulte “va te faire enculer” ici et là..., déjà ça implique qu’un homosexuel est androgyne, implique qu’une femme est soumise, implique que le sexe anal est réservé aux soumis, implique qu’il y a un donneur et un receveur plutôt qu’un échange. On note clairement le problème à son origine.

Ce qu’on veut réussir à faire est un acte d’échange, où on se prend, et on se donne du plaisir mutuellement en toute confiance, et respectueusement.

« Osons le dire haut et fort, pour nous les femmes, la sodomie, quand c’est bien fait, c’est F.U.N! »

Du point de vue d’une femme principalement hétérosexuelle, c’est ici que je voudrais explorer la relation anale au sein du couple hétéro, et ce, que le jeu anal intervienne sur l’homme ou la femme de manière interchangeable. Bien évidemment, une femme n’a pas de prostate, je ne peux donc pas décrire l’orgasme anal chez un homme, mais les notions de respect et partage s’appliquent aux deux.

Ainsi avec la libération de plus en plus proéminente du plaisir féminin, malgré le triste constat qu’il soit encore trop souvent accompagné d’insultes (la vierge ou la putain), nos langues de femmes se délient à travers des médiums variés. Ressentir du plaisir, et vouloir en ressentir n’est pas une tare. Ça fait de nous tout simplement des êtres sexués, et dotés de désirs charnels!

Osons le dire haut et fort, pour nous les femmes, la sodomie, quand c’est bien fait, c’est F.U.N!

On vous invite ici à travers un mini-guide du sexe-anal, écrit par une femme, à découvrir les façons de s’initier à ce grand plaisir à petite réputation! ♥ 

Plaisir féminin et sodomie

Commençons déjà par dire que j’avance dans cet article en tenant pour acquis que si vous avez lu jusqu’ici, c’est que vous êtes un tant soit peu curieux.se sur le sujet. J’imagine que vous n’y êtes pas entièrement fermé.e. 

Comme toute pratique sexuelle, si vous ne le sentez pas, ne vous forcez pas. Il ne s’agit pas ici de vous convaincre d’essayer, mais plutôt d’apporter des infos pratiques si vous y songez déjà.

Maintenant pour parler plaisir, la zone de l’anus et l’intérieur du canal anal sont des zones hautement érogènes. Chez la femme, ces terminaisons nerveuses sont également reliées au vagin, et donc reliées au clitoris. 

« Comme dans toute pratique sexuelle, il s’agit de tester différentes méthodes et de trouver ce qui convient.  »

L’anus n’étant pas forcément une zone sexuellement impliquée régulièrement lors des rapports, elle est d’autant plus sensible quand elle est sollicitée. Qu’il s’agisse d’un doigt (enduit de lubrifiant - l’anus ne se lubrifie pas tout seul!) qui vient caresser l’anus, ou d’une langue, les frissons sont au rendez-vous!

Comme dans toute pratique sexuelle, il s’agit de tester différentes méthodes et de trouver ce qui convient. C’est ici qu’il est important d’aller par étape. De voir si la stimulation de la partie externe de l’anus procure du plaisir, de varier cette stimulation (encore une fois avec un doigt ou une langue), et de voir ensuite si stimuler le clitoris ou le vagin simultanément ajoute au plaisir.

Non seulement l’orgasme anal est possible pour une femme, mais son intensité est décuplée car en plus d’engager le canal anal, il engage aussi toutes les terminaisons nerveuses pelviennes, y compris celles du clitoris.

Les préjugés sur la sodomie

Ça fait mal

Pas quand on s’y prend bien! Et pour ça, le “donneur”, et le “receveur” sont tout autant responsables du bon déroulement des choses. Si on prépare bien le terrain, si on communique, si on utilise assez de lubrifiant (toujours plus de lubrifiant), si on se fait confiance, si on y va doucement, et si on s’écoute l’un l’autre, alors non, ça ne fait pas mal! Ça fait peut-être beaucoup de “si”, mais ces conditions sont aussi valables pour tout autre rapport sexuel.

Risque d’hémorroïdes / fissure

Encore une fois (et ça ne sera pas la dernière dans cet article), on va rappeler le lubrifiant et la douceur! Une fissure anale est une plaie sur la peau qui peut arriver si on est trop brusque, et/ou que la région n’est pas lubrifiée. 

Des hémorroïdes, quant à eux, sont une dilatation importante des veines situées au niveau du canal anal et du rectum. Celles-ci peuvent survenir ou empirer si la pénétration de l’anus se fait de manière trop brusque, altérant les muscles rectaux (pubo-rectal et sphincter).

C'est sale

Il est effectivement possible que des résidus de matières fécales restent dans le rectum de tout être humain. C’est comme ça, c’est la nature. Si vous êtes un homme et que cette notion vous rebute, vous n’êtes peut-être pas prêt, trouvez un autre orifice!

Malgré une hygiène irréprochable, même un lavement, il se peut qu’une pénétration anale laisse des “traces”. C’est un risque à prendre. Le plus tôt on accepte que notre corps possède certaines fonctions qu’on ne contrôle pas, le mieux nous nous porterons tous. Un corps, ça pète, ça rote, ça ronfle, ça a des borborygmes, MAIS, un corps, c’est aussi super jouissif! 

Si vous êtes une femme, et que cette idée vous gêne, entendons-nous sur le fait que si votre homme propose la sodomie, il est au courant de ce qu’il se passe dans ce trou-là et en accepte les risques!

C'est une soumission / dégradant

« Quand on est dans la bienveillance et le plaisir partagé, l’humiliation n’a pas lieu d’être. »

Là encore c’est un préjugé culturel. Êtes-vous en confiance avec votre partenaire? Si c’est le cas et que cette question se pose tout de même, alors il est vital d’avoir une conversation et de discuter des craintes et incertitudes qui entourent la pratique anale. Il est important de rassurer, ou se faire rassurer.

Si vous n’êtes pas en pleine confiance avec votre partenaire, alors il vaut peut-être mieux développer cet aspect de votre relation avant d’aborder le sujet. Apprenez à vous connaître dans, et en dehors de vos sexualités. 

La sodomie requiert un abandon et un lâcher prise plus important qu’une pénétration vaginale, tant pour des causes émotionnelles que physiologiques (nous verrons ces dernières ci-bas).

La notion de soumission ou dégradation est mentale, c’est une barrière arbitraire. Quand on est dans la bienveillance et le plaisir partagé, l’humiliation n’a pas lieu d’être.

À quoi s'attendre lors de la sodomie?

« Le but est de s’amuser et prendre du plaisir ensemble. »

Première chose, l’anus n’est pas un vagin (on sait que vous savez)… Il ne se lubrifie pas tout seul (on vous aura prévenu et on va vous le rappeler: utilisez du lubrifiant!).

Un muscle à connaître: le sphincter externe. C’est ce muscle qui se contracte volontairement lors de la défécation et qui doit, pour un jeu anal sexuel bien réussi, être relâché.

Si ce muscle est contracté, toute pénétration sera rendue quasi impossible et douloureuse. Le maître mot est donc d’être aussi détendu.e que possible avant de commencer quoi que ce soit.

Armez-vous de patience. Dans vos premiers essais, une pénétration n’est pas requise, contentez-vous de ce qui fait du bien sans vous mettre la pression. Le but est de s’amuser et prendre du plaisir ensemble.

C’est une pratique qui peut prendre du temps, et l’important est de conserver bienveillance et plaisir tout au long du jeu.

Pourquoi la sodomie?

Il ne s'agit pas de convaincre son/sa partenaire de tenter la sodomie pour un plaisir unilatéral. 

Ce qu'on atteint par cet acte est un rapprochement des êtres au sein du couple, un degré de confiance et de laisser-aller propre au plaisir.

« la zone anale est érogène et possède de nombreuses terminaisons nerveuses qui chez la femme, communiquent avec celles du vagin »

C’est justement parce qu’il faut communiquer, être doux, y aller lentement que cet acte rapproche, et les sensations sont d’autant plus fortes pour les deux partenaires qui s’y adonnent.

Ensuite, la zone anale est érogène et possède de nombreuses terminaisons nerveuses qui chez la femme, communiquent avec celles du vagin (BINGO!). Il est donc très possible (et même probable) d’obtenir un orgasme à travers cette pratique.

C’est un orgasme qui, si vous n’en avez jamais fait l’expérience, est tout à fait différent, qui engage le corps et l’esprit, qui transcende beaucoup d’autres plaisirs connus avant. Enfin, c’est le pied, quoi!

Comment aborder le sujet du sexe anal?

Ça n'est pas communément une pratique qui se fait dès les premiers rapports, et encore moins quelque chose qu’on tente sans prévenir!

« le plaisir de l’autre est aussi important que le sien propre »

Le mieux est de parler tout simplement et poser des questions pour voir comment l’autre se sent par rapport à la sodomie. Il ne s’agit pas ici de ‘dire’ ce qu’on a envie de faire à l’autre, ou ce qu’on a envie qu’il/elle nous fasse, mais plutôt de demander quel est le sentiment de son/sa partenaire sur le sujet. 

Ça permet d’ouvrir une conversation neutre, sans mettre de pression, de dire qu’on serait intéressé.e, et c’est un moment important pour dire le plaisir de l’autre est aussi important que le sien propre

Si vous ne vous sentez pas assez à l’aise pour en parler, rien ne sert de s’acharner sur le sujet, il y a d’autres choses plus importantes à solidifier dans le couple avant d'entamer des conversations un peu plus ‘tabous’.

Prenez votre temps, rien ne presse.

Comment préparer le terrain?

En ce qui concerne la sexualité, le mental est le plus gros facteur de plaisir. Eh oui, le cerveau est l'organe le plus important! Être prêt.e émotionnellement se fait aussi par étape, ce qui veut dire que vous n’avez pas besoin de tenter une pénétration anale tout de suite.

Pour être plus claire, il s’agit tout simplement de commencer à inclure les fesses et l'anus dans les rapports sexuels réguliers, et ce, par étape. Vous pouvez par exemple commencer à accorder plus de place aux fesses lors de rapports en les massant, les caressant, en les écartant doucement, etc. 

Vous pouvez petit à petit, et sans insister, masser l’anus de votre partenaire afin qu’il/elle s’habitue à être touché à cet endroit et en apprivoise les sensations érotiques. Si/quand vous vous sentez à l’aise; lécher, mordre les fesses procure tout autant de sensations nouvelles qui finalement incluent plus la région dans les jeux sexuels. Après plusieurs ‘sessions’ soft, on peut aussi tenter l’anulingus.

« on peut facilement trouver d’autres moyens que la pénétration pour se procurer l’un l’autre du plaisir et des orgasmes »

Finalement il s’agit surtout de jouer de complicité ensemble, de se faire plaisir l’un l’autre, de s’apprendre et communiquer pendant l’amour. Bon nombre de femmes parviennent à l’orgasme en ne caressant que leur clitoris de manière externe. Ce qu’on appelle donc communément, et à tort, les ‘préliminaires’ peuvent très bien en eux-même constituer le rapport sexuel au complet. 

À partir du moment où, en couple, on comprend cela, on peut facilement trouver d’autres moyens que la pénétration pour se procurer l’un l’autre du plaisir et des orgasmes. Rien que ça, ça prépare le terrain.

Plus on connaît son propre corps et le corps de l’autre, plus on découvre toutes les parties érogènes, sans pression. Et il est bien plus intéressant et agréable d’inclure toutes les parties du corps dans le jeu de la sexualité hétéro plutôt que de se concentrer sur des rapports pénis-vagin limitants.

Le bon moment se fera quand la personne pénétrée donnera le signal! Ne forcez rien!

Pour les questions pratiques, certains sites vantent les vertus de lavements rectaux en préparation à la sodomie. C'est un sujet qui prête un peu à la controverse. Il y a effectivement sans doute des résidus fécaux dans le rectum de chaque individu. 

Cela dit le rectum et le canal anal contiennent une muqueuse et une flore auto-régulatrice. Donc pourquoi y introduire de l'eau pour un lavement quand le corps est censé se charger naturellement de l'évacuation afin d'éviter les problèmes? 

Libre à vous de chercher sur la toile, de parler à votre médecin pour voir si c'est une pratique que vous voulez tenter avant l'acte. 

« c’est une zone à explorer et apprivoiser aussi par soi-même lors de la masturbation »

Prenez garde cependant, si vous faites un lavement, à le faire au moins une heure avant l'essai de la sodomie, le temps que la muqueuse se refasse, et que les muscles du sphincter aient eu le temps de se décontracter.

NOTE IMPORTANTE: Il est bon d’avoir été aux toilettes avant de tenter l’opération, et de prendre une douche.

NOTE TOUT AUSSI IMPORTANTE: Que vous soyez un homme ou une femme, si vous comptez vous faire pénétrer par l’anus à un moment donné, c’est une zone à explorer et apprivoiser aussi par soi-même lors de la masturbation. Cela vous donnera une plus grande connaissance de votre corps et vous permettra de mieux guider votre partenaire lors de vos ébats. Si vous optez pour des sex-toys, assurez-vous qu’ils soient faits pour le sexe anal, le cas échéant vous pourriez avoir du mal à les faire ressortir, et vous retrouver aux urgences à passer des radios qui feront rire tous les internes…

NOTE ENCORE PLUS IMPORTANTE: Ne prenez surtout pas de poppers ou de crème anesthésiques, dans le premier cas, vous risqueriez de potentiels problèmes de tension sérieux, et dans le deuxième, une blessure sans vous en apercevoir sur le coup.

Pendant la sodomie:

Si vous pensez avoir mis assez de lubrifiant, c'est faux. Et non, la salive n’est pas une bonne alternative! Allez-y franchement à ce niveau. Comme nous l’avons dit, l’anus ne se lubrifie pas tout seul. Vous risquez, si vous n’en mettez pas assez, d’en ressortir avec une fissure ou des hémorroïdes, et un blocage mental de surcroît. 

« le but est de trouver une position qui génèrera le moins de tension afin de profiter au maximum de l’expérience »

Au niveau des positions à adopter, la cuillère est une de celles qui permet le plus de contrôle sur l’intensité, la profondeur, et le rythme. Elle permet aussi une plus grande proximité physique et un accès facile aux autres parties érogènes.

La position de la cavalière - ou la cavalière inversée (où la femme est au dessus) est aussi privilégiée car elle permet tout autant de contrôle pour la femme, mais qu’on se le dise, elle est plus fatigante et moins intime pour un début.

Quoi qu’il en soit, le but est de trouver une position qui génèrera le moins de tension afin de profiter au maximum de l’expérience.

Soyez patient, allez-y lentement et en douceur. Une fois le gland du pénis inséré, arrêtez-vous quelques instants pour que les muscles du rectum s’habituent et se dilatent. Profitez-en pour vous toucher, vous embrasser, vous parler... vous rapprocher.

Quand tout le monde est prêt à repartir, ajouter encore du lubrifiant. Il est important pour celui/celle qui se fait pénétrer de déterminer le rythme, et de donner le ton. Il faut parler. Dire quand arrêter, quand continuer, dans quel angle, etc. C’est une responsabilité importante dans le bon déroulement du sexe anal. Tout autant qu’il est important d’écouter pour celui qui pénètre.

« Selon la position que vous choisissez pour le sexe anal, assurez-vous de pouvoir accéder aux autres zones ultra-érogènes de votre partenaire »

N'oubliez pas dans tout ça que les femmes ont un clitoris, et qu'elles peuvent jouir plusieurs fois lors d'un rapport sexuel! Mesdames, n’hésitez pas à le stimuler, et messieurs, vous pouvez aussi lui prêter attention.

Même au delà du clitoris, il y a d’autres actes, pendant l’amour ou les préliminaires qui nous font grimper au rideau encore plus rapidement. Selon la position que vous choisissez pour le sexe anal, assurez-vous de pouvoir accéder aux autres zones ultra-érogènes de votre partenaire pour un maximum de sensations. 

Ça peut être les mamelons, les oreilles, le cou, le ventre, les caresses sur les fesses, enfin bref, vous avez compris. Si vous savez ce qui marche en d’autres temps, il y a de fortes chances pour que la réponse soit positive aussi pendant la sodomie. 

NOTE IMPORTANTE: Si madame jouit pendant la sodomie, demandez lui si elle veut continuer; la contraction des muscles du plancher pelvien, ainsi que du sphincter externe de l'anus peuvent causer une gêne si l'orifice est occupé par un pénis ou tout autre objet.

NOTE ENCORE PLUS IMPORTANTE: Si vous introduisez un pénis ou sex-toy ou autre dans l’anus de madame, ne mettez JAMAIS cet objet dans son vagin sans être passé à la douche avant! La flore vaginale est extrêmement sensible et cela peut causer des risques d'infection du tractus urinaire.

NOTE TOUT AUSSI IMPORTANTE: Protégez-vous! La transmission d’IST peut également se faire par voie anale, et pour les couples qui n’utilisent pas de préservatifs lors de rapport vaginaux, il vous suffira de l’enlever si vous voulez passer à une pénétration vaginale sans passer par la douche.

Après la sodomie:

Après l’effort, le réconfort. Le sexe anal est une pratique qui donne des sensations fortes physiquement, et émotionnellement. Prenez donc un moment de tendresse pour vous enlacer et vous parler après votre session de ‘anal-play’.

On conserve douceur et lenteur même sur la fin, donc on ne retire pas d’un coup l’objet ou le pénis de l’anus, cela peut causer de la gêne physiologiquement car les muscles sont dilatés, et auront pu se recontracter après un orgasme.

Ne soyez pas choqués s’il y a des passages de gaz, effectivement si de l’air est entré, il ressortira invariablement.

Soyez honnêtes au sujet de vos sensations et émotions, et décidez ensemble de si vous voulez ou non recommencer, ce que vous avez particulièrement aimé, etc.

À bientôt pour plus de sujets hot-hot-hot! ♥ 


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